La rédaction d’un magazine communautaire, une histoire de liens sur un territoire

La Communauté de Communes de Montesquieu, territoire de plus de 40 000 habitants, imprime un magazine trimestriel qui met en valeur ce qui se passe au sein de la collectivité. C’est un outil de proximité. Ses objectifs ? La vulgarisation des actions de la CCM auprès du grand public et la mise en avant des différents acteurs du territoire.

Il était une fois une rédactrice qui racontait un territoire dans un magazine de collectivité

Tu t’en doutes, la rédaction d’un magazine communautaire nécessite une bonne connaissance des sujets du territoire (économie, emploi, solidarité, société, environnement, habitat, mobilités…). Il faut ensuite être capable de les retranscrire au travers d’histoires parlantes. Tout en tenant compte des enjeux politiques qui se cachent derrière.

Sur la Communauté de Communes de Montesquieu, L’Esprit Communautaire est tiré à 21 500 exemplaires chaque trimestre. Il propose alors 24 pages de dossiers thématiques, d’articles, d’interviews et d’infographies réalisés par mes soins. Ça en fait, du contenu !

Eh oui, quand arrive la phase de rédaction du magazine, je vis généralement deux semaines assez intenses.

Rédiger un magazine communautaire, ça nécessite des process rigoureux

Suite à un appel d’offres remporté, mon collectif de freelances Timecom a commencé à accompagner la collectivité dans la rédaction de son magazine. Depuis, j’ai pas mal de numéros à mon compteur (tout a commencé à l’été 2020).

Je suis donc un process très précis pour rédiger les contenus attendus :

  1. Prise de connaissance du chemin de fer établi par le service communication et le Président de la CCM
  2. Lecture des documents et rapports internes mis à disposition
  3. Nombreux échanges avec les vice-présidents des commissions et les chefs de service de la CCM
  4. Interviews d’entreprises, d’associations et d’habitants du territoire
  5. Rédaction et suivi de la validation des articles auprès des interlocuteurs concernés dans le respect des délais de bouclage

Une mission « plume » comme je les aime, avec l’objectif d’embarquer un grand nombre de lecteurs dans la vie et l’évolution de leur territoire.

PS : mon grand-père m’avait dit un jour qu’il me verrait bien « journaliste »… J’y vois là une forme de concrétisation !

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